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Le thème du “Bootstrapping” avec Owen Merz

D’où vient le terme Bootstrap ?*
Pourquoi en parle-t-on de plus en plus ?

Ce concept tire son nom des exploits du baron de Münchhausen, qui aurait prétendument réussi à sortir d’un marécage en se tirant lui-même par les boucles de ses bottes. Revenons à nos moutons… pour les startups, il s’agit de démarrer une activité avec des ressources propres et limitées, sans faire appel à un financement externe notamment une levée de fonds auprès d’investisseurs.

Il est vrai que la tendance à s’autofinancer est de plus en plus importante, en effet :
. Le coût de création d’un prototype est de plus en plus abordable grâce à des outils comme le NoCode, l’IA Générative et la délocalisation des talents ;
. Les levées de fonds sont difficiles et sont chronophages, seulement 1,00 % des startups y arrivent, comme le souligne Pierre Gaubil ;
. Le souhait de rester maître à bord, éviter ainsi toute dilution prématurée qui brouillerait l’equity story ;
. Le financement non dilutif relativement accessible ;
. Les allocations chômage peuvent permettre de financer ses dépenses personnelles.

Mais faut-il s’autofinancer ad vitam aeternam ? Tout dépend de ses objectifs et de sa capacité d’autofinancement. Il est parfois judicieux d’ouvrir son capital pour réaliser, par exemple, un saut technologique ou profiter d’une opportunité qui serait difficile à saisir sans un soutien financier externe…

Au plaisir d’échanger sur ce sujet,

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